Tout au long de l’épisode épidémique de COVID-19 et au gré des protocoles sanitaires, les impacts de la pandémie ont été nombreux, tant sur l’activité que sur l’organisation du travail. Charlotte CHABAS, journaliste pour le quotidien Le Monde, est venue observer le quotidien d'une PME le temps d'une journée dans nos locaux en février 2022.

Comment assurer la continuité de l’activité, adopter des nouvelles pratiques organisationnelles et conserver des bonnes conditions de travail pour les salariés ?

Le défi est de taille, d’autant plus lorsque 70% de l’effectif total des collaborateurs SOFIS en CDI est féminin ! Pourtant, face à l’urgence, nos équipes ont su s’adapter. Grâce au télétravail ou à des journées de travail légèrement décalées par rapport aux horaires habituels, l’absentéisme a finalement était très faible. « On a fait confiance et on laisse les équipes libres de gérer leur temps comme elles l’entendent. » résume Leslie Dumontet, Directrice Générale, dans l’article Le Monde.

La journaliste pointe d'ailleurs dans son article l’inégalité hommes/femmes au sujet des arrêts maladie : « Les femmes sont particulièrement concernées par cette augmentation notamment quand il s’agit des arrêts pour garde d’enfant. Si l’impact du Covid-19 sur l’emploi des femmes est encore peu documenté, une étude publiée par la Fondation des femmes, en mars 2021, montrait que, lors du premier confinement, les mères étaient 21 % à avoir arrêté de travailler, soit le double des pères. ».

Si les femmes actives endossent encore (trop) souvent la majorité des charges pratiques comme mentales associées au fait d'être mères, la solidarité féminine est aussi mise en lumière dans l’article « comme partie intégrante de l’identité de cette entreprise qui célèbre tout juste ses vingt ans. »

Quels enseignements tirer de cette crise venue perturber la vie de l’entreprise ?

Voici la conclusion de l’article : « On veut garder cette liberté à l’avenir », affirme Leslie Dumontet, qui se dit « fière » de cette statistique de « 100 % de femmes encadrantes » dans un monde professionnel de la sécurité au travail traditionnellement masculin. « Il y a encore trop de préjugés négatifs autour des femmes dans le monde du travail. Si on peut contribuer à en casser quelques-uns, tant mieux. »


L'intégralité de l'article est disponible sur le site Le Monde, en cliquant ici.